En cette journée de remise des prix Miroir (bravo Grand Corps Malade) et vingt-huit spectacles plus tard, je termine mon Festival d’été de Québec 2011. Ce soir, en me rendant voir et entendre Malajube, je suis tombé sur un très bon « band » de rock, Galaxie. Le peu que j’ai entendu m’a paru très énergique.
Les trois premières pièces de la prestation du groupe Malajube étant du matériel très récent, je ne peux que dire que le concert était prometteur; je ne voulais pas manquer le début de Thomas Fersen et j’avais une petite marche à faire pour m’y rendre. Disons que l’homme à la voix rocailleuse était attendu. Les gens au parterre fredonnaient régulièrement les paroles de ses chansons. Ne s’adressant à peu près pas aux gens venus à sa rencontre, je suis resté sur ma faim de cette enfilade de chansons, bien rendues, mais manquant de ce petit quelque chose. De fréquents retours de son et un orage ont eu vite fait de ma présence en haute-ville… Dommage!
Ayant écrit presque au jour le jour, je n’ai pas pris de retard à « livrer » le matériel glané au fil des concerts et des entrevues, si ce n’est le billet témoignant de ma rencontre avec Jorane dont le contenu n’est pas complètement publié. La richesse de nos échanges me commande d’y revenir, avant d’interrompre ma couverture de l’événement. Demain en matinée, la direction tient un point de presse pour faire le bilan et j’utiliserai probablement ce prétexte pour me prêter au même exercice.
Si la soirée est passée en coup de vent, les onze jours ont été riches en émotion de toutes sortes et j’avoue ne pas vraiment avoir envie de tourner la page.
Il le faudra bien…
N.B. Ce billet a aussi été publié sur le blogue du Festival d’été
Tags: "...à d'où je viens" "Divagations musicales" "Festival d'été de Québec 2011" Blogueur-reporter