La danse était à l’honneur hier soir sous un chapiteau rempli à 70% en cette soirée plutôt humide au Festival Musique Bout du Monde. Les musiciens sur scène n’avaient qu’une chose en tête : faire danser les festivaliers ! Élage Diouf a enflammé son djembé dès le début de sa prestation et les membres de son groupe étaient d’attaque pour animer une foule qui en redemandait. Un public assez jeune s’était déplacé pour la soirée d’ouverture animée par Daniel Boucher qui, sourire aux lèvres, avait beaucoup de prestance chaque fois qu’il est venu sur scène.
Les installations de la scène Loto-Québec peuvent contenir de 1 200 à 1 800 personnes, selon les différentes sources consultées parmi les organisateurs du FMBM. La chaleur reste sous le chapiteau ce qui fait en sorte qu’une atmosphère de fête peut s’installer facilement. À l’arrière, une estrade occupée par des gens aimant mieux s’asseoir ne dérange pas les 90% qui préfèrent se tenir debout et se blottir le plus proche possible de ceux qui font le spectacle. Ça crie, ça chante et surtout… ça danse à Gaspé. Du moins hier soir !
Au rythme des chansons en wolof, « El Hadji » Diouf a fait monter la température de la place en fin de spectacle avec un extrait de son célèbre passage de « Tassez-vous de d’là » des Colocs. Il n’en fallait pas davantage pour qu’il lance aux spectateurs les plus actifs l’invitation à venir danser avec lui sur scène. Il semble que les meilleurs aient accepté puisqu’une jeune femme habillée en vert a tout de suite capté l’attention de tous par sa gestuelle qui semblait venir d’Afrique. Rencontrée au terme de la prestation, elle me confirmait « avoir déjà suivi des cours de danse africaine et ne pas être du tout intimidée par la scène ». C’est le moins qu’on pouvait dire dans les circonstances.
Le spectacle a été suivi par celui de Florence K. Ma journée avait commencé à quatre heures du matin et le Festival était bien jeune pour commencer à lutter tout de suite contre mon corps qui me disait que j’avais assez dansé pour ce soir; je me suis donc dirigé vers mon lit avec les airs du Sénégal dans la tête…
N.B. Ce billet a également été publié sur le blogue du Festival Musique du Bout du Monde
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Pendant vingt-deux ans, l'école a été mon véhicule pour «changer le monde». J'y ai vécu des années fantastiques où j'ai beaucoup appris des élèves et où je suis allé au bout de certaines idées.
Depuis 2005, mon parcours en entreprises m'a permis d'aider des organisations à mieux prendre le virage numérique et ainsi de bien gérer le changement.
J'avoue être un idéaliste.
Je travaille de manière constructive avec tous ceux et celles qui veulent faire avancer la société !
Un autre véhicule me permet d'intervenir concrètement, celui de la politique. Je milite depuis 2011 à la Coalition avenir Québec et j'occupe actuellement le poste de vice-président Est-du-Québec. Aussi, depuis le 7 mars 2018, je suis le candidat dans Vanier-Les Rivières, en vue des prochaines élections générales au Québec.
On peut évidemment m'écrire pour le travail ou pour la politique.
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