Je suis invité à l’émission 24 heures en 60 minutes vers les 19 h 35 ce soir pour échanger pendant cinq minutes sur le projet Google+. Ça passe très vite cinq minutes…
J’aurai probablement le temps de dire que c’est seulement un média social de plus (même s’il s’agit du projet d’un géant… Google). Je pourrai ajouter que pour le moment, on ne peut rien prédire de particulier sur le futur du projet, que «oui» il semble y avoir un taux d’adhésion plus rapide que pour Facebook et Twitter, mais que ça ne veut pas dire grand-chose. Je pourrai probablement expliquer sommairement les différentes fonctionnalités, surtout nommer le vocabulaire, «Cercles», «Flux», «Déclics», «Vidéo-bulles» et parler du bouton «+1». J’espère pouvoir dire un tout petit mot sur les précautions à envisager sur n’importe quel outil de communication numérique ou média social et aussi, mentionner l’existence d’un petit guide Google+ pour les éducateurs. Est-ce que je devrais saisir l’occasion et mentionner l’existence d’une consultation publique du gouvernement du Québec sur le Web 2.0?
Si on me demande comment personnellement j’utilise mon compte Google+, je dirai probablement qu’à ce stade-ci, je ne suis pas plus emballé que ça. Un dispositif de plus qui ne m’apporte pas vraiment une valeur ajoutée au niveau de ma veille et de mes communications en général. Ça va vite… déjà plus de mille internautes m’ont ajouté dans un de leurs cercles, mais je ne sens pas encore comment je pourrais différencier mon utilisation de cet autre «canal». J’aime bien l’idée des différents cercles que je peux paramétrer à mon aise sans que personne ne sache où je les ai «catégorisés», mais jusqu’à quel point mes communautés vont-elles vraiment migrer vers Google+, ça reste un mystère…
Je vois chaque jour des internautes «démissionner» de Google+, annoncer qu’on ne les y reprendra plus parce qu’ils ont l’impression d’avoir déjà pas mal à gérer. Je comprends facilement que Google devait s’investir dans un truc-machin dans le style de Twitter et de Facebook (voir ce petit comparatif), mais à part diminuer la valeur de ses concurrents (quand il y en a un de plus, chacun perd un peu de valeur), je suis loin de penser qu’un de ceux-ci souffrira un peu.
Quant à moi, comme plusieurs «des exaltés» du Web participatif, je continue à expérimenter.
On verra à l’usage…
Mise à jour du lendemain: Le topo est maintenant en ligne; il faut se rendre à la section #4, si vous arrivez au début de l’émission. J’ajoute que ma communication a été influencée par de nombreux commentaires sur Google+ où j’avais hyperlié ce billet, quelques heures avant mon rendez-vous à Radio-Canada…
Pendant vingt-deux ans, l'école a été mon véhicule pour «changer le monde». J'y ai vécu des années fantastiques où j'ai beaucoup appris des élèves et où je suis allé au bout de certaines idées.
Depuis 2005, mon parcours en entreprises m'a permis d'aider des organisations à mieux prendre le virage numérique et ainsi de bien gérer le changement.
J'avoue être un idéaliste.
Je travaille de manière constructive avec tous ceux et celles qui veulent faire avancer la société !
Un autre véhicule me permet d'intervenir concrètement, celui de la politique. Je milite depuis 2011 à la Coalition avenir Québec et j'occupe actuellement le poste de vice-président Est-du-Québec. Aussi, depuis le 7 mars 2018, je suis le candidat dans Vanier-Les Rivières, en vue des prochaines élections générales au Québec.
On peut évidemment m'écrire pour le travail ou pour la politique.
Depuis 2005, mon parcours en entreprises m'a permis d'aider des organisations à mieux prendre le virage numérique et ainsi de bien gérer le changement.
J'avoue être un idéaliste.
Je travaille de manière constructive avec tous ceux et celles qui veulent faire avancer la société !
Un autre véhicule me permet d'intervenir concrètement, celui de la politique. Je milite depuis 2011 à la Coalition avenir Québec et j'occupe actuellement le poste de vice-président Est-du-Québec. Aussi, depuis le 7 mars 2018, je suis le candidat dans Vanier-Les Rivières, en vue des prochaines élections générales au Québec.
On peut évidemment m'écrire pour le travail ou pour la politique.
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Je suis maintenant abonné depuis une semaine à Google+, suite à l’invitation d’un ami qui n’est pas sur Facebook parce qu’il trouve ce dernier non-sécuritaire (cet ami travaille en sécurité informatique). Je ne suis pas tellement impressionné sauf peut-être par la symbiose entre l’application mobile et mon cellulaire (normal, c’est un Nexus). On verra avec le temps.
Personnellement j’encourage à la façon d’un vrp tous mes contact facebook à me suivre vers G+ .
le design est plus léger, pas encore de milliers d’applications et de test poubelle.
les innovations de visio, de cercles etc … intéressants.
les déclarations sur la vie privée de mark zuckerberg, faisait qu’outre l’intérêt du service du réseau social je pensais vraiment supprimer mon compte, google + serait peut être une alternative » don’t be evil »
google à cela en plus de facebook, que facebook avait pour fin de devenir un portail qui deviendrais la homepage du net … pour le coup google en à vraiment les moyens.
moteur de recherche + gmail + maps + docs +googleplus etc … google à les moyens de devenir « l’internet 🙂 …
ps : les arguments de ses articles me font penser à une position de confort, je ne quitte pas mon fai car il détient mon adresse mail principale ou mon operateur telecom car je ne veux pas changer de numéro …
Pour ma part, je trouve les fonctionnalités de G+ très intéressantes. Mon intérêt est d’y retrouver des amis professionnels, des journalistes et des personnalités que je suis sur Twitter, mais je n’ai pas osé inviter sur Facebook. Je suis également en expérimentation, car ma clientèle cible (artistes et travailleurs culturels) n’est pas présente pour le moment !?!