Autant le show de ce soir Couleurs Gaspé représente pour moi le clou du Festival, autant je n’avais pas d’attente pour la soirée d’hier. Je n’avais jamais entendu aucun des groupes au programme, si ce n’est l’écoute de quelques pistes sonores disponibles ici et là sur Internet.
Au terme de ce vendredi à saveur reggae et musique du monde, je peux dire que de la musique de Bambara Trans et de Mad’MoiZèle Giraf risque de se retrouver dans ma bibliothèque numérique, au terme du week-end du Festival. Deux groupes de Montréal, des voix imposantes, une musicalité originale et une présence sur scène efficace. On n’a qu’à compter le nombre de gazouillis d’hier soir pour mesurer mon intérêt aux différentes séquences de la programmation. D’ailleurs, au moment où je publiais sur le canal Twitter pendant la prestation de Sergent Garcia, un festivalier (M. Gougeon) m’a demandé si j’aimais le show? Il ne trouvait pas normal « que je prenne mes courriels » pendant que ça dansait autour de moi… Après lui avoir montré mon « badge média » et mes tweets sur l’écran de mon téléphone, il m’a résumé la performance du groupe de brillante façon : « Tu peux me citer, même si j’ai l’impression d’un groupe qu’on vient roder chez nous, c’est bon! » Un spectacle de début de tournée, disons…
La surprise de Mad’MoiZèle Giraf est d’autant plus forte que le groupe n’était pas annoncé au programme. Un groupe s’étant désisté, l’un des membres du groupe travaillant cet été à Ste-Anne-des-Monts, l’autre étant le batteur de Bambara Trans, ce n’était pas trop compliqué de venir « frapper en relève »! Et quelle relève… Un mélange de Radio-Radio et de Mes aïeux… mais avec une touche de reggae. Une écriture surprenante, en plus!
J’espère que d’ici la fin, on m’offrira d’autres belles découvertes de ce genre.
N.B. Ce billet a également été publié sur le blogue du Festival Musique du Bout du Monde
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Pendant vingt-deux ans, l'école a été mon véhicule pour «changer le monde». J'y ai vécu des années fantastiques où j'ai beaucoup appris des élèves et où je suis allé au bout de certaines idées.
Depuis 2005, mon parcours en entreprises m'a permis d'aider des organisations à mieux prendre le virage numérique et ainsi de bien gérer le changement.
J'avoue être un idéaliste.
Je travaille de manière constructive avec tous ceux et celles qui veulent faire avancer la société !
Un autre véhicule me permet d'intervenir concrètement, celui de la politique. Je milite depuis 2011 à la Coalition avenir Québec et j'occupe actuellement le poste de vice-président Est-du-Québec. Aussi, depuis le 7 mars 2018, je suis le candidat dans Vanier-Les Rivières, en vue des prochaines élections générales au Québec.
On peut évidemment m'écrire pour le travail ou pour la politique.
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