À Ludovia, le format des BarCamps fait toujours l’objet de discussions, avant même de se vivre. On entend plusieurs commentaires, certains très positifs, d’autres, plus critiques… En théorie, il y a plusieurs façons de s’assurer que des gens se présentent à une activité de ce type dans le respect du principe « pas de spectateurs, que des participants ». En ce sens, je crois que les BarCamps de cette année ont « livré » ce qu’ils promettaient, même s’ils étaient précédés d’un atelier de vingt minutes qui se voulait une occasion de modéliser un usage ou une pratique dans le respect du thème au programme.
Disons que certaines soirées ont commencé plus difficilement que d’autres… Parfois, c’était le lieu physique qui était mal adapté, parfois, c’était le présentateur qui transformait le tout en une « sorte » de « pitch » corporatif. Le débat «libre vs propriétaire» était engageant, soit, mais on ne peut pas dire que la formule « BarCamp » ait vraiment été respectée. Même dans celui que j’ai animé, il ne fallait pas être un « pur-zé-dur » de la formule, parce que je me serais fait taper sur les doigts. Et puis…
Il est heureux tout de même qu’au sortir de Ludovia, plusieurs participants aient exprimé qu’ils y trouvaient leur compte, en terme de moment d’interactivité. Déjà que les tables rondes et les ExplorCamp n’ont pas toujours offert beaucoup d’occasions de partage, il fallait que le soir au moins, on termine les longues journées par quelque chose qui permet à chacun d’y mettre du sien.
Quand on regarde d’où on est partie voilà maintenant quelques années…
Une chose est certaine, tous les animateurs étaient centrés sur la façon de créer de l’espace pour la discussion. J’ai trouvé agréable cette « synthèse » de @cmonnet publié sur Twitter : « Les barcamps c’est comme la pétanque, c’est pas les conclusions qui comptent, c’est la discussion ».
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Pendant vingt-deux ans, l'école a été mon véhicule pour «changer le monde». J'y ai vécu des années fantastiques où j'ai beaucoup appris des élèves et où je suis allé au bout de certaines idées.
Depuis 2005, mon parcours en entreprises m'a permis d'aider des organisations à mieux prendre le virage numérique et ainsi de bien gérer le changement.
J'avoue être un idéaliste.
Je travaille de manière constructive avec tous ceux et celles qui veulent faire avancer la société !
Un autre véhicule me permet d'intervenir concrètement, celui de la politique. Je milite depuis 2011 à la Coalition avenir Québec et j'occupe actuellement le poste de vice-président Est-du-Québec. Aussi, depuis le 7 mars 2018, je suis le candidat dans Vanier-Les Rivières, en vue des prochaines élections générales au Québec.
On peut évidemment m'écrire pour le travail ou pour la politique.
Depuis 2005, mon parcours en entreprises m'a permis d'aider des organisations à mieux prendre le virage numérique et ainsi de bien gérer le changement.
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Un autre véhicule me permet d'intervenir concrètement, celui de la politique. Je milite depuis 2011 à la Coalition avenir Québec et j'occupe actuellement le poste de vice-président Est-du-Québec. Aussi, depuis le 7 mars 2018, je suis le candidat dans Vanier-Les Rivières, en vue des prochaines élections générales au Québec.
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