Le Festival d’été de Québec est un rendez-vous incontournable depuis plusieurs étés, pour moi, comme pour plusieurs amateurs de musique au Québec. L’an dernier, pour un premier été, j’ai agi à titre de blogueur accrédité, après avoir écrit assez souvent sur le Festival depuis que je tiens pignon sur Web (1, 2, 3). Pour l’édition 2012, je n’ai pas été recruté, mais ça ne m’empêche pas d’être un spectateur très actif. Je suis présent aux spectacles, je gazouille de temps à autre, et bien sûr, je lis ce qui se retrouve sur La Toile, je consulte quelques vidéos tournées sur place et je m’intéresse aux photographies qui sont souvent très parlantes !
Si j’écris beaucoup moins cet été, je lis davantage. Je porte une grande attention aux critiques de Nicolas Houle, d’Olivier Parent, de Cédric Bélanger et de David Nathan que j’ai côtoyés l’an dernier. Rarement en désaccord avec eux.
Ma lecture préférée demeure celle des billets d’Étolane du blogue Vol de mots. Collègue carnetière depuis longtemps, sa prose est rafraîchissante et ses reportages photos toujours éblouissants. Sandra aime passionnément les artistes qu’elle couvre !
En lire davantage sur le billet : « Attraper la fièvre du Loup »
Il m’arrive rarement d’être en désaccord avec un article, mais j’avoue qu’un passage du papier d’une journaliste du Devoir suite au spectacle de Bon Jovi m’a fait tiquer un peu…
« Quand même, il manquait la politique. Connaissant l’intérêt de Jon Bon Jovi pour la politique et son soutien au Parti démocrate aux États-Unis, on aurait quand même aimé l’entendre sur la crise étudiante et le printemps érable. Après tout, la moitié des artistes y font allusion dans leur spectacle après avoir dit «bonjour Québec». Imaginez : Jon Bon Jovi arborant un carré rouge, ça aurait fait son effet. Ils auraient même pu faire comme Les Goules à l’Off et demander à Banane Rebelle de monter sur scène avec eux. » (source)
Au moment d’écrire ce billet, c’est la Hallyday-mania (ou la gueule de bois à propos d’Hallyday, c’est selon) qui s’empare de Québec. Parions qu’il y aura beaucoup à lire et à voir à la suite de la performance. Il fait beau, les scènes attirent beaucoup chaque soir et la musique est excellente…
La critique ne fait jamais l’unanimité, mais la direction du FEQ sera sûrement ravie du fait que les artistes et leur performance ont pris toute la place de l’édition 2012 et c’est très bien ainsi.
Du moins jusqu’à maintenant…
Mise à jour : Ce billet a aussi été publié au Huffington Post dans la section « blogues ».
Tags: "Divagations musicales" "Festival d'été de Québec 2012"
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[…] (FEQ). Je couvre l’événement à titre de blogueur depuis quelques années (2010, 2011, 2012, 2013) et j’attends toujours avec bonheur ce moment d’effervescence dans la ville qui […]
[…] d’été de Québec, depuis que je le couvre de bout en bout à titre de blogueur (2014, 2012, 2011 et 2010). Le bonheur d’écrire à ce moment est toujours au rendez-vous. C’est un […]