La septième édition de l’évènement le Web à Québec (WAQ) a constitué le coeur de ma participation à La Semaine Numérique de Québec 2017 jusqu’à maintenant. Je suis comblé par la qualité des activités au programme et le très grand nombre de rencontres productives avec des participants.
Je me suis d’abord rendu au Cercle lundi soir pour le TEDx Québec Salon organisé sous le thème « Illettrés numériques ». Une salle rempli à pleine capacité, une animation efficace de notre Denis-François Gravel national et surtout, des conversations enrichissantes après chacune des deux conférences TED présentées…
À titre d’invité spécial, j’ai particulièrement apprécié la qualité des interventions qui ont permis une fois de plus de sentir que l’échange de perspectives différentes est tout à fait possible dans ce genre d’activité. Chose certaine, le monde des algorithmes crée à lui seul une effervescence nouvelle qui commande la remise en question de notre vision de l’illettrisme numérique d’aujourd’hui. Plusieurs ont souligné l’importance du défi – quand l’utilisateur est le produit – de formation et d’éducation pour ne pas se laisser mener aveuglément par l’intelligence artificielle qui prend de plus en plus de place dans nos vies.
J’exprimais hier à Liliane Tremblay de CTVM.info toute ma satisfaction…
L’activité reviendra l’an prochain. À suivre…
Les organisateurs du WAQ offraient pour cette édition 2017 une programmation de haut calibre. Il se passe beaucoup d’actions dans les corridors et les agoras où il fait bon retrouver des collègues qu’on ne fréquente souvent que numériquement au quotidien. C’est tellement agréable de se retrouver en présence les uns des autres puisqu’on a tellement à se dire.
J’ai eu le privilège de participer à un tournage qui sera diffusée sur les ondes de Bell TV1. Parmi les émissions diffusée, une portera sur l’école à l’ère du numérique et il m’a fait plaisir de partager mon point de vue avec Thérèse Laferrière.
Voici quelques-une des questions qui nous était posées par l’animatrice Marie-Hélène Raymond :
- C’est quoi pour vous une école qui se tourne vers l’ère du numérique ?
- Avez-vous des exemples de bonnes pratiques dans des écoles qui y parviennent ?
- En quoi le numérique et les technologies peuvent améliorer la qualité des apprentissages en classe ? Pour les enseignants ? Pour les élèves?
- Les enseignants sont-ils bien formés dans les circonstances pour bien prendre le virage numérique ? Comment sont-ils épaulés dans leurs démarches ?
Je n’ai pas obtenu les détails sur les moments de la diffusion plus tard ce printemps de l’émission de télé baptisée NumériQC, mais je les ajouterai ici quand ils seront disponibles.
Pour ce qui est des ateliers, j’ai beaucoup aimé participer à celui de l’équipe du Secrétariat à la communication gouvernementale, ministère du Conseil exécutif au Gouvernement du Québec. Comme je le mentionnais dans la capsule vidéo diffusée plus haut, le format collaboratif a bien servi les animateurs qui souhaitaient « écouter » les participants plutôt que de passer leurs messages.
Aujourd’hui, j’avais le privilège de présenter une conférence sur un sujet qui m’est cher : le futur de l’école à l’ère du numérique. Voici les diapositives utilisées…
Je reviendrai dans les prochains jours sur la diversité de points de vue consécutive au discours du budget dans lequel on avait appris l’existence du projet Lab-école, ce qui a créé une certaine controverse dans le milieu de l’éducation. Chose certaine, le contexte a bien servi mon intervention puisque rarement j’ai obtenu autant de réactions après une présentation.
Je remercie l’équipe du Web à Québec de son invitation et du service de webdiffusion. Je remercie également Audrey Miller qui a produit un excellent résumé en temps réel.
J’attire votre attention sur l’activité au programme demain, «Innovation numérique et développement des affaires» qui semble très prometteuse au même titre que le WAQ junior de cette fin de semaine.
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