Il faut lire l’article du Wired paru récemment pour apprécier les modèles d’Île Sans Fil et de ZAP Québec. Dans «What’s Behind the Epidemic of Municipal Wi-Fi Failures?», il est fait mention de «l’échec» des villes comme San Francisco, Philadelphia, Houston et St. Louis qui ont toutes réalisé que leur projet de WiFi connaissait de sérieux problèmes. À force de construire à partir de promoteurs uniques et d’une vision centralisée du déploiement, on constate comme à Chicago que les municipalités sont «unable to eke out a viable business plan with either AT&T or troubled internet service provider Earthlink».
Nous ne sommes pas placés chez ZAP pour cracher en l’air, par contre. En cet été qui s’achève, nous constatons une baisse dans nos énergies de bénévoles. Nous sommes atterrés (plusieurs d’entre nous qui nous perdons dans les dédales du politique au municipal) des complications reliées au cheminement de notre dossier de demande de soutien et ce n’est pas sans affecter un peu notre moral, malgré les installations qui continuent. Je veux simplement dire qu’il y a loin de la coupe aux lèvres et que notre modèle visant à répartir sur plusieurs épaules la charge du projet vit parfois des épisodes plus éprouvants. Je ressens que cet automne arrive sous ce climat teinté de ressentiment envers des politiciens qui se renvoient la balle un et l’autre sans que nous ne puissions réellement être fixé. Tout-le-monde-il-est-pour, mais on se sent parfois comme une patate chaude que personne ne veut saisir alors que c’est leur tour de prendre le relais… pour un temps et en partie!
Pour ne pas que cette belle idée de faire de Québec une cité sans fil se flétrisse, il nous faudra un p’tit coup d’encouragement dans les prochaines semaines. Se regrouper entre nous, se parler de nos bons coups est dans notre mire. Peut-être aussi que le reportage de Méchant Contraste du 17 septembre prochain motivera un de nos sympathisants à «put his money where his mouth is»?
Pendant vingt-deux ans, l'école a été mon véhicule pour «changer le monde». J'y ai vécu des années fantastiques où j'ai beaucoup appris des élèves et où je suis allé au bout de certaines idées.
Depuis 2005, mon parcours en entreprises m'a permis d'aider des organisations à mieux prendre le virage numérique et ainsi de bien gérer le changement.
J'avoue être un idéaliste.
Je travaille de manière constructive avec tous ceux et celles qui veulent faire avancer la société !
Un autre véhicule me permet d'intervenir concrètement, celui de la politique. Je milite depuis 2011 à la Coalition avenir Québec et j'occupe actuellement le poste de vice-président Est-du-Québec. Aussi, depuis le 7 mars 2018, je suis le candidat dans Vanier-Les Rivières, en vue des prochaines élections générales au Québec.
On peut évidemment m'écrire pour le travail ou pour la politique.
Depuis 2005, mon parcours en entreprises m'a permis d'aider des organisations à mieux prendre le virage numérique et ainsi de bien gérer le changement.
J'avoue être un idéaliste.
Je travaille de manière constructive avec tous ceux et celles qui veulent faire avancer la société !
Un autre véhicule me permet d'intervenir concrètement, celui de la politique. Je milite depuis 2011 à la Coalition avenir Québec et j'occupe actuellement le poste de vice-président Est-du-Québec. Aussi, depuis le 7 mars 2018, je suis le candidat dans Vanier-Les Rivières, en vue des prochaines élections générales au Québec.
On peut évidemment m'écrire pour le travail ou pour la politique.
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Et l’arrivée (très) prochaine du iPodtouch n’est pas une motivation suffisante? Je n’en ai pas dormi de la nuit!
Un autre article qui pourrait servir de mise en garde (sans être décourageant) et éviter certaines erreurs est paru dans le dernier numéro de The Economist (celui avec le logo de Google sur la page couverture). Mario, je vais te l’amener au bureau.
Clément : je viens de commander mon iPod Touch. 🙂