J’ai participé lundi dernier, le 8 février 2016, à ma première réunion du conseil d’administration de l’Institut des troubles d’apprentissage. J’ai accepté l’invitation à joindre ce groupe émérite parce que je crois énormément à la mission de l’organisation : soutenir, représenter, former et sensibiliser, « afin d’assurer l’égalité des chances des personnes qui vivent avec un trouble d’apprentissage, de leur permettre de développer pleinement leur potentiel et de contribuer positivement à la société ».
L’Institut TA est apparu dans le paysage québécois l’automne dernier, mais elle est présente depuis plus de cinquante ans, mieux connu sous le nom de l’Association québécoise des troubles d’apprentissage (AQETA).
Lorsque la transition entre les deux organismes a été rendue publique, le président Roger Casgrain a bien expliqué les défis de la lutte contre les préjugés trop souvent entretenus à propos des individus qui vivent avec un trouble d’apprentissage.
Je suis très fier de m’associer à cette cause à titre d’administrateur de l’Institut.
J’ai rencontré énormément de jeunes garçons et de jeunes filles qui ont éprouvé des difficultés et des troubles d’apprentissage, particulièrement à titre de directeur d’école. Je souhaite que mon expertise puisse profiter au groupe de personnalités qui voient au développement de cette importante organisation qui est devenue « un acteur incontournable dans le domaine des troubles d’apprentissage, une condition qui affecte 800 000 personnes au Québec, soit 10 % de la population ».
Je rejoins donc avec grand plaisir Roger Casgrain (Casgrain et Compagnie Ltée), Sébastien Côté (Bell Média), Stéphanie Leblanc (PwC), Philippe Labelle (Viandes Seficlo), Michel Leblanc (Chambre de commerce de Montréal métropolitain), Alain Simard (L’équipe Spectra), Jean-Pierre Léger (Groupe St-Hubert Inc.) et Pierre Ladouceur (Turbo Marketing).
L’Institut tient à chaque année depuis plus de 40 ans un congrès annuel qui a l’habitude de regrouper plus de mille cinq cent professionnels du domaine et également un colloque pour les parents.
Il y a plusieurs façons de soutenir l’Institut des troubles d’apprentissage et je vous invite à les considérer.
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