Je me disais…
C’est drôle d’entendre parler «du réseau de l’éducation», alors que plusieurs d’entre nous sont assez convaincus du peu de culture de réseau dans «le système».
Et je lisais…
Une discussion veut prendre chez Gilles avec comme ingrédients «l’enfant» qui est en réseau au moment où il entre en classe et le fait qu’il doivent (ou pas) se mettre «sur pause» de son réseau le temps qu’il est à l’école.
Je m’en voudrais…
Il faut quand même que je témoigne des exemples que je rencontre. Il y a quand même des expériences qui prouvent que l’école peut tenir compte des réseaux. À commencer par Jon Beasley-Murray qui «a posé comme défi à ses étudiants de faire accepter leurs travaux comme» de véritables articles dans Wikipédia…
Si maintenant…
Je me demandais, c’est quoi, la prochaine étape au moment où tellement d’intervenants en éducation veulent s’affirmer «dans le réseau» et nous convaincre de la pertinence de leur «agenda»?
Et puis bon…
Ces jeunes qui nous regardent aller, ont-ils vraiment le goût dans «nos écoles» de partager notre conception «des réseaux»? Quelle sorte d’exemple est-ce que nous leur offrons par nos comportements d’adultes?
Je reformule…
J’aime bien la question de Gilles (du billet cité plus haut), «Quand l’école accueillera-t-elle l’élève-réseau?», mais je crois qu’il faut plutôt demander «Quand l’école (et les adultes) accueillera-t-elle l’idée d’un fonctionnement en réseau?»
N.B. À propos de l’expérience positive engageant Wikipédia et un enseignant de l’Université de Colombie-Britannique, il y a un bon suivi @ «Sur le Web de R.-C.».
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Pendant vingt-deux ans, l'école a été mon véhicule pour «changer le monde». J'y ai vécu des années fantastiques où j'ai beaucoup appris des élèves et où je suis allé au bout de certaines idées.
Depuis 2005, mon parcours en entreprises m'a permis d'aider des organisations à mieux prendre le virage numérique et ainsi de bien gérer le changement.
J'avoue être un idéaliste.
Je travaille de manière constructive avec tous ceux et celles qui veulent faire avancer la société !
Un autre véhicule me permet d'intervenir concrètement, celui de la politique. Je milite depuis 2011 à la Coalition avenir Québec et j'occupe actuellement le poste de vice-président Est-du-Québec. Aussi, depuis le 7 mars 2018, je suis le candidat dans Vanier-Les Rivières, en vue des prochaines élections générales au Québec.
On peut évidemment m'écrire pour le travail ou pour la politique.
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