Je me suis finalement « mouillé ». Après toute l’ampleur du vertige qui accompagne les grands sauts, je vis la sensation de l’eau depuis peu. Je parle du fait d’avoir contacté quelques personnes et de leur avoir donné l’adresse… Un drôle d’effet : une certaine frousse accompagnée d’anxiété et une écoute d’un sentiment puissant que c’était la chose à faire, le plus rapidement possible, histoire d’apprécier la grandeur des pas récemment faits !
Je n’ai pas le goût pour tout de suite de commenter les réactions reçues (j’en reçois encore, alors…). Sauf une catégorie quand même; celle que je décode et qui porte à dire « pourquoi j’m’essayerais pas » ?
En fait, je n’ai pas de réponse sûre pour l’instant. Mais un texte qui peut aider. Davantage aider ceux qui aurait le réflexe de « faire essayer ».
Je parle du texte de Jim McGee rencontré à partir du site de Remolino : « Blogging in the classroom, Part 2. Forced blogging = flogging? » Après avoir donné le contexte d’une expérience non-satisfaisante où il semble avoir « encouragé » l’utilisation du cybercarnet par des étudiants, il nomme quatre étapes à passer avant de se lancer:
« There are four hurdles to pass to move from willing volunteer to competent blogger: learning the technology environment, developing an initial view of blogging, plugging into the conversation, and developing a voice. These are not so much discrete phases as they are parallel tracks that can be managed. »
Pour l’instant, il aborde le premier volet. Je m’engage à suivre le développement des autres étapes par ce même auteur; je trouve qu’il y a là, matière à réflexion, dans un contexte où je m’apprête à participer au développement de l’outil à des fins pédagogiques dans le sens d’un portfolio professionnel (pour des pédagogues) ou portfolio d’apprentissage numérique (pour des élèves)…
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Pendant vingt-deux ans, l'école a été mon véhicule pour «changer le monde». J'y ai vécu des années fantastiques où j'ai beaucoup appris des élèves et où je suis allé au bout de certaines idées.
Depuis 2005, mon parcours en entreprises m'a permis d'aider des organisations à mieux prendre le virage numérique et ainsi de bien gérer le changement.
J'avoue être un idéaliste.
Je travaille de manière constructive avec tous ceux et celles qui veulent faire avancer la société !
Un autre véhicule me permet d'intervenir concrètement, celui de la politique. Je milite depuis 2011 à la Coalition avenir Québec et j'occupe actuellement le poste de vice-président Est-du-Québec. Aussi, depuis le 7 mars 2018, je suis le candidat dans Vanier-Les Rivières, en vue des prochaines élections générales au Québec.
On peut évidemment m'écrire pour le travail ou pour la politique.
Depuis 2005, mon parcours en entreprises m'a permis d'aider des organisations à mieux prendre le virage numérique et ainsi de bien gérer le changement.
J'avoue être un idéaliste.
Je travaille de manière constructive avec tous ceux et celles qui veulent faire avancer la société !
Un autre véhicule me permet d'intervenir concrètement, celui de la politique. Je milite depuis 2011 à la Coalition avenir Québec et j'occupe actuellement le poste de vice-président Est-du-Québec. Aussi, depuis le 7 mars 2018, je suis le candidat dans Vanier-Les Rivières, en vue des prochaines élections générales au Québec.
On peut évidemment m'écrire pour le travail ou pour la politique.
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