C’est l’heure du départ. En prévision de mon séjour dans un endroit où on aurait pu vivre si notre «fondateur» avait «navigué à l’envers de l’hiver», j’emmène avec moi:
- «Chaque femme est un roman»
- «Voyage au-delà de mon cerveau»
- «Contre la réforme»
- «Tribes»
- «Here Comes Everybody»
- «The Long Tail»
- «L’audace d’espérer»
- «Le #2353 du nouvel Observateur»
C’est pour lire… ou relire!
«Cartier, Cartier, si t’avais navigué…»
Mise à jour du retour: Le voyage de quatorze jours s’est avéré reposant et très stimulant. J’ai trouvé le temps de lire les quatre premiers titres et l’exemplaire du Nouvel Obs. Parmi les phrases que je retiens du roman d’Alexandre Jardin, il y a : «On a l’âge de notre bibliothèque»… C’est écrit dans le contexte où l’auteur raconte que sa mère brûlait ses livres épisodiquement et elle lui balançait cette phrase pour expliquer son comportement. Je me suis dit que c’était comme refuser de conduire les yeux rivés au retroviseur! J’ai appris encore plus sur le cerveau (l’hémisphère gauche et le droit) par l’entremise du témoignage fantastique du Docteur Jill Bolte Taylor. Je retiens cette citation d’Einstein qui accompagne toujours ses courriels: «Je dois être prêt à renoncer à ce que je suis pour devenir ce que je serai à l’avenir». Sur Tribes, je me suis déjà exprimé (1, 2); rien à ajouter… Quant au collage de Normand Baillargeon, je m’apprête à viens d’en rédiger une critique.