C’est le titre du panel que j’aurai le bonheur d’animer en conclusion de l’événement qui débute dès mercredi soir, «Le Web à Québec». Les participants Carl-Frédéric De celles, Simon Bédard, Joé Bussière et Jonathan Parent auront comme mission de démontrer que «l’industrie du Web ne sera pas aussi hétéroclite dans l’avenir qu’elle semble l’être en ce moment:
«Penseurs, artistes, enseignants, technologues, communicateurs et gens d’affaires se côtoient régulièrement au sein de cet univers mouvant. Non seulement le Web occupe professionnellement beaucoup de gens, mais il touche tout le monde, qu’on le perçoive ou non, qu’on le souhaite ou non. Notre société change et change vite, et c’est certainement en partie de sa faute!»
J’ai déjà une bonne idée des thématiques que j’offrirai en pâture aux quatre membres du panel, mais je me dis qu’il n’y a rien de mieux que d’en avoir quelques-unes en banque.
Que vous soyez de Québec ou pas… je vous le demande : qu’aimeriez-vous savoir du futur ?
Rendez-vous ce 25 février 2011 à l’Hôtel Pur de Québec (de 15h30 à 17h00) pour les réponses. Les autres activités au programme pourraient aussi s’avérer intéressantes!
Mise à jour du lendemain: Je discute du panel (et autres sujets) avec Josée Plamondon d’Alliance numérique… (crédits Christian Aubry) qui tient pignon sur Web «en live» tout au long de l’événement…
Mise à jour après l’événement: Un billet chez Luc Racine rassemble plusieurs traces au sortir de l’événement, «Web à Québec : Ça bouge dans l’industrie.
Tags: "La vie la vie en société" "Plan Numérique"
Ce que je voudrais savoir du futur ? En tant que prof au secondaire, je voudrais savoir quand aurons-nous des écoles dignes du 21e siècle ??? Il commence à y avoir urgence de lâcher cette école prise dans le ciment du 20e siècle: je pense que ce ciment, malgré les viaducs, était trop solide…
Pour ça, il faudra arrêter de gérer uniquement en fonction du coût de la bande passante, pensant ainsi économiser (pour éponger des déficits de CS par exemple – déficits discutables en plus !), alors qu’on passe à côté d’un investissement promordial. Voilà.
J’ai une question identitaire pour le panel. Qu’est-ce qui fait la saveur de Québec? Est-ce que l’industrie, les tendances, les projets sont différents à Québec? Comment la région pourrait signer ses créations, réalisations? (à part la réponse classique, on fait plus de projets gouvernementaux)…
Je me pose la même question pour Montréal et j’aimerais bien ensuite qu’on se la pose pour « Le Québec », question d’avoir une bonne ligne d’approche quand on va ensemble de Toronto à New-York à Paris!