Via Joe Luft, un dossier du Boston Review qui contient huit articles de fond sur ce qui « fait la différence » en matière de choix systémique (scolaire). Il y est question des « vouchers » américains. Le texte de départ traite directement de la question et semble prétendre que ce mécanisme n’est pas garant de succès. Les autres textes y font écho…
Le dernier texte, Kahlenberg and Wasow Reply, a particulièment attiré mon attention :
« Our main point is that it is much easier for a predominantly middle-class school than for a high-poverty school to provide the excellent teachers, supportive peers, and many active parents that foster successful education. So we seek a socioeconomic mix that is predominantly middle class at every school. Accomplishing this goal requires freely chosen transfers into good schools, a universal system that does not simply serve those with the strongest motivation, and a set of fairness guidelines that ensure that choice promotes rather than undercuts socioeconomic integration.
Un dossier à relire au cas où la question des bons d’éducation reviendrait dans l’actualité…
*Traduction libre de « What makes schools work ? »
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Pendant vingt-deux ans, l'école a été mon véhicule pour «changer le monde». J'y ai vécu des années fantastiques où j'ai beaucoup appris des élèves et où je suis allé au bout de certaines idées.
Depuis 2005, mon parcours en entreprises m'a permis d'aider des organisations à mieux prendre le virage numérique et ainsi de bien gérer le changement.
J'avoue être un idéaliste.
Je travaille de manière constructive avec tous ceux et celles qui veulent faire avancer la société !
Un autre véhicule me permet d'intervenir concrètement, celui de la politique. Je milite depuis 2011 à la Coalition avenir Québec et j'occupe actuellement le poste de vice-président Est-du-Québec. Aussi, depuis le 7 mars 2018, je suis le candidat dans Vanier-Les Rivières, en vue des prochaines élections générales au Québec.
On peut évidemment m'écrire pour le travail ou pour la politique.
Depuis 2005, mon parcours en entreprises m'a permis d'aider des organisations à mieux prendre le virage numérique et ainsi de bien gérer le changement.
J'avoue être un idéaliste.
Je travaille de manière constructive avec tous ceux et celles qui veulent faire avancer la société !
Un autre véhicule me permet d'intervenir concrètement, celui de la politique. Je milite depuis 2011 à la Coalition avenir Québec et j'occupe actuellement le poste de vice-président Est-du-Québec. Aussi, depuis le 7 mars 2018, je suis le candidat dans Vanier-Les Rivières, en vue des prochaines élections générales au Québec.
On peut évidemment m'écrire pour le travail ou pour la politique.
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