L’expression est de Claude Boucher (Ze Cool blogue) au sujet d’un texte de Gaston Caperton et de Seymour Papert: Vision for Education: The Caperton-Papert Platform. Les sentiments de mon collègue carnetier, m’ont conduit illico à lire le texte d’autant plus que Papert et le « Massachusetts Institute of Technology » (MIT) sont des « institutions » qui attirent toujours ma curiosité; de plus, il est question d’une visite dans ce coin de pays en mars prochain avec une délégation des RIMA. Revenons au texte et à cet extrait qui me rejoint particulièrement au moment de mettre en ligne notre projet particulier pour des jeunes de neuf et dix ans:
« Q: But there are statistics to show that in most cases technology in schools doesn’t work.
A: The statisticians ask a silly question and get a silly answer. Of course « technology doesn’t work. » Technology doesn’t do anything. People do. Statistics that lump together technology implementations across the board — averaging the good with the bad — only prove that throwing a lot of computers into an otherwise unchanged school will just leave you with an unchanged school. What else is new? Technology gives people the opportunity to create new, high-expectation learning environments. If we don’t have the vision and the courage to take advantage of the opportunity, statistics will continue to prove the obvious. The critics of the use of technology in schools are absolutely right when they cast doubt on technology’s cost effectiveness. But the cause of widespread low effectiveness is not the technology. It is using digital technology without a vision of a digital world. And often it is using technology at a level below the critical mass at which it has a chance to be used effectively« .
Si jamais l’envie me prend de renouer avec une lecture des derniers mois, je me souviendrai de l’entrevue qui portait le titre « La fin de l’école ?« , publiée sur le site d’édu@média. Ça donne une idée du génie de Monsieur Papert… Merci Ze cool !
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Pendant vingt-deux ans, l'école a été mon véhicule pour «changer le monde». J'y ai vécu des années fantastiques où j'ai beaucoup appris des élèves et où je suis allé au bout de certaines idées.
Depuis 2005, mon parcours en entreprises m'a permis d'aider des organisations à mieux prendre le virage numérique et ainsi de bien gérer le changement.
J'avoue être un idéaliste.
Je travaille de manière constructive avec tous ceux et celles qui veulent faire avancer la société !
Un autre véhicule me permet d'intervenir concrètement, celui de la politique. Je milite depuis 2011 à la Coalition avenir Québec et j'occupe actuellement le poste de vice-président Est-du-Québec. Aussi, depuis le 7 mars 2018, je suis le candidat dans Vanier-Les Rivières, en vue des prochaines élections générales au Québec.
On peut évidemment m'écrire pour le travail ou pour la politique.
Depuis 2005, mon parcours en entreprises m'a permis d'aider des organisations à mieux prendre le virage numérique et ainsi de bien gérer le changement.
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Un autre véhicule me permet d'intervenir concrètement, celui de la politique. Je milite depuis 2011 à la Coalition avenir Québec et j'occupe actuellement le poste de vice-président Est-du-Québec. Aussi, depuis le 7 mars 2018, je suis le candidat dans Vanier-Les Rivières, en vue des prochaines élections générales au Québec.
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