Via L’Infobourg, cet essai qui est le fruit de l’expérience et des recherches de Ginette Lajoie sur la façon de remédier aux difficultés des garçons à l’école. Pour l’instant, je ne peux apprécier que les citations de la page de L’Infobourg dont celle-ci :
«La tentation de relier toutes les difficultés à l’absence des hommes est forte mais vaine (voir page 104 du livre). Un nombre égal d’enseignants et d’enseignantes demeure un beau rêve, un bel idéal à atteindre, mais la réalité est tout autre. Effectivement, il devient pressant de recruter des enseignants masculins. Cependant, pour y arriver nous devrons d’abord intéresser davantage les petits gars à l’école. De plus, pendant la formation des maîtres, si on continue de faire pression pour que les étudiants récitent de petites comptines et inventent des petits jeux, il ne faut pas s’étonner que la minorité d’hommes qui s’intéressent à l’enseignement décroche avant de compléter les quatre années d’études au baccalauréat en sciences de l’éducation. En éducation et en enseignement, les hommes retrouvent peu de place pour exprimer leur masculinité avec fierté.»
La lecture de cet ouvrage promet. « Ginette Lajoie y rappelle que les bousculades et chamailleries entre garçons ont toujours existé, mais qu’elles sont aujourd’hui trop souvent considérées comme des manifestations de délinquance ou d’hyperactivité. » J’essayerai donc de mettre la main sur un exemplaire dans les prochains jours…
Pendant vingt-deux ans, l'école a été mon véhicule pour «changer le monde». J'y ai vécu des années fantastiques où j'ai beaucoup appris des élèves et où je suis allé au bout de certaines idées.
Depuis 2005, mon parcours en entreprises m'a permis d'aider des organisations à mieux prendre le virage numérique et ainsi de bien gérer le changement.
J'avoue être un idéaliste.
Je travaille de manière constructive avec tous ceux et celles qui veulent faire avancer la société !
Un autre véhicule me permet d'intervenir concrètement, celui de la politique. Je milite depuis 2011 à la Coalition avenir Québec et j'occupe actuellement le poste de vice-président Est-du-Québec. Aussi, depuis le 7 mars 2018, je suis le candidat dans Vanier-Les Rivières, en vue des prochaines élections générales au Québec.
On peut évidemment m'écrire pour le travail ou pour la politique.
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Un autre véhicule me permet d'intervenir concrètement, celui de la politique. Je milite depuis 2011 à la Coalition avenir Québec et j'occupe actuellement le poste de vice-président Est-du-Québec. Aussi, depuis le 7 mars 2018, je suis le candidat dans Vanier-Les Rivières, en vue des prochaines élections générales au Québec.
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Cela me semble un document fort intéressant. Il pourrait aussi être intéressant de se pencher sur la question du manque d¹enseignant(s) spécialisés dans le domaine des sciences et des mathématiques.
Sur le site personnel de Ginette Lajoie, nous pouvons cueillir un avant-goût de son approche au problème des garçons à l’école.
Du point de vue de Mme. Lajoie, il est question de dépistage de ce que veux dire « être un homme » et « être une femme », d’ apprendre ce qu’est la masculinité et la féminité, et que nous naissions garçon ou fille.
Il serait donc question de recherche d’identité, voire d’affirmation de fièreté masculine chez les garçons.
Ses efforts pour cerner le fond du problème sont tout-à-fait louables, et elle identifie clairement plusieurs comportements distinctifs masculins, observables chez une majorité des garçons (bruyants, chamailleurs, défiants, taquins, hyperactifs, etc…), mais elle échoue à identifier la cause principale de leur échec à l’école, qui a peu à voir avec l’identité masculine personnelle ou en société.
Il se peut très bien que Mme Lajoie ne « pige » pas le coeur du problème des garçons, pour les mêmes raisons qu’une majorité d’entre eux ne « pigent » pas l’école; c’est à dire que: les femmes et les hommes « pensent » différemment.
Le cerveau des hommes et des femmes ne fonctionnent pas de la même façon.
Les problèmes de « comportements » aggressifs et de manque d’attention ne sont que des « manifestations » en réaction à l’absence, à l’école, de styles d’apprentissage à leur « mesure ».
Les garçons haïssent l’école, et ont raison de le faire.
Dans l’article de l’Infobourg, c’est le petit paragraphe « D’un autre côté… » en bas du texte principal qui nous donne un lien vers les réflexions « Nos garçons et l’école » de Jean-Guy Lemery, directeur d’école à la retraite, qui se penchent sur la question neurologique, et qui mériterait beaucoup plus d’attention.
http://www.mokasofa.ca/famille/theme/expert/02fevrier17a.asp
Les spécialités des deux émisphères du cerveaux, et leur utilisation différente par les hommes et femmes, sont révélatrices de l’incompatibilité des styles actuels d’apprentissages avec le mode de pensé des garçons. C’est comme donner un bain à un chat.
L’espace ici ne me permet pas d’explorer en long et en large toutes les carrances et frustrations que les garçons doivent souffrir de cet état de chose, mais juste l’idée de penser à ces illustrations de manuels ou feuilles de devoirs de style « Caillou » ou « Bout-d’choux » et ce encore au primaire 6 et même secondaire, et que l’on sait à quel point l’image est importante chez les garçons, on ne peut que compatir à l’insulte qu’ils ressentent.
Ces images sont incontestablement produites par des femmes.
Parcontre, Mr. Lemery ommet un facteur très important concernant les différences neurologique chez les hommes et les femmes; le « corpus callosum » (connexions entre les deux hémisphères du cerveau) est plus volumineux chez la femme que chez l’homme. Ce qui veut dire que la femme peut accomplir plusieurs tâches en même temps mieux que l’homme, mais parcontre que l’homme a une pensée plus spécialisée.
Ce qui porte à réfléchir l’orsqu’on pense à une journée d’école où l’on doit ingurgitter 4 cours de matières différentes.
Les filles en apprendront un peut de chaqu’unes, les garçons auront rien retenus ou n’en auront retenu qu’une seule.
Une chose qu’il faut retenir au sujet de toutes ces nouvelles découvertes neurologiques, c’est que nous ne naissons pas garçon ou fille, mais bien que la majorité soient bien garçons ou filles, il y a une bonne part des deux qui partagent la neurologie des deux.
Le style d’apprentissage unique actuel est trop rigide pour l’évantail neurologique des enfants, et ils mériteraient mieux que celà. Au moins trois styles conçus spécialement; pour garçons, pour filles, et un « mixte », seraient plus « juste » comme choix disponnibles pour les particularité à chaqu’un.
Quelques liens très informatifs sur les nouvelles découvertes neurologiques:
Hommes Femmes Corpus Callosum:
http://www.google.ca/search?q=cache:A8tnuNwnTC4J:chairemm.polymtl.ca/Info-Chaire/sept03/psychologie.pdf+hommes+femmes+corpus+callosum&hl=en&ie=UTF-8
Different Brains, Different Realities?:
http://serendip.brynmawr.edu/bb/neuro/neuro01/web2/Hoeldtke.html
Science et musique : d’un commun accord:
http://www.tabaret.ca/2002-04/191.htm
Talk on the brain: A man’s brain, a woman’s brain:
http://www.natureinterface.com/e/ni01/P058/
Je viens de me procurer un ouvrage des éditions de la Chenelière sur le fonctionnement du cerveau malheureusement , je n’ai pas de documents reproductibles pour mes élèves. C’est-à-dire du matériel pédagogique développé à la lumière de ces dernières découvertes neurologiques. Avez-vous des suggestions, merci infiniment.
Bonjour,
J’aimerais entrer en contact avec Ginette Lajoie afin de savoir si elle donne des conférences à des enseignants. Pouvez-vous m’aider? Merci
Je ne peux pas vous aider plus que cela, car je ne connais pas Mme Lajoie. Je vous suggère de téléphoner aux services éducatif de votre Comission scolaire; sait-on jamais, ils ont peut-être de meilleurs contacts que les miens pour répondre à cette question.
Avez-vous essayé auprès de l’éditeur du livre ? Nathalie Gagnon pourrait peut-être vous aider : nath.gagnon@sympatico.ca .
Bonnes chances.
J’aimerais rejoindre Ginette Lajoie qui a été ma thérapeute à l’école de Madame Jeannine Guindon à Montréal. Je la cherche partout.
Merci
Elle travaille avec moi à l’UQO au campus de Saint-Jérôme!
M. Bissonnette…
Accepteriez-vous de rapporter à Mme Lajoie qu’une personne au nom de Mme St-andré cherche à entrer en contact avec elle et lui offrir de m’écrire pour que je puisse transférer à cette dame son adresse courriel ?
La suite leur appartiendra…