La course de tacots m’a fait grand bien. J’ai couru de bas en haut du boulevard René-Lévesque assez souvent pour me remettre les idées en place (remonter « le bolide » jusqu’en haut était à ma portée). Plus de cinq cent jeunes, plus d’une trentaine de « boîtes à savon ». L’activité est fascinante… Nous en étions (notre école) à une deuxième participation; notre première édition avait été couronnée de succès !
J’ai bien aimé notre expérience de cette année, même si le bilan n’est pas encore terminé. Je retiens cette phrase rapportée par Le Soleil (aucun hyperlien disponible pour l’instant) issue de Daniel Rousse, responsable/initiateur de l’événement : «Les élèves apprennent à reconnaître l’Université comme un lieu de service à la communauté. (…) Fini la ville dans la ville, l’institution apprend aussi à ouvrir ses portes» !
Apprendre quelques notions scientifiques en construisant un tacot n’est pas banal. Comprendre qu’on peut être bon en classe et « être cool » ne l’est pas non plus. Engager quelques papas dans une activité scolaire où leurs talents les rapprocheront de fiston est un autre bénéfice non-négligeable !
Et puis apprendre à conduire à plus de 30 km/h est aussi un défi; on en reparlera longtemps à Anne-Célia, « la fille du groupe ». J’étais en bas, au pied de la côte quand elle a réussi une première fois à se rendre jusqu’au bout… Les bras dans les airs et le visage en sourire : «J’ai réussi», qu’elle a crié !
Un bel après-midi pour nous tous. Merci aux enseignants, Bernard et Annie, sans qui le projet n’aurais pu exister et surtout à Romuald, l’étudiant en Génie Mécanique qui a supervisé notre joyeuse bande de petits « Jacques Villeneuve »…
Voici notre belle affiche de l’édition 2004 (version .pdf, 718 ko) !
Mise à jour de deux minutes plus tard : Chez Clément, l’inspiration semble avoir été la même…
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Pendant vingt-deux ans, l'école a été mon véhicule pour «changer le monde». J'y ai vécu des années fantastiques où j'ai beaucoup appris des élèves et où je suis allé au bout de certaines idées.
Depuis 2005, mon parcours en entreprises m'a permis d'aider des organisations à mieux prendre le virage numérique et ainsi de bien gérer le changement.
J'avoue être un idéaliste.
Je travaille de manière constructive avec tous ceux et celles qui veulent faire avancer la société !
Un autre véhicule me permet d'intervenir concrètement, celui de la politique. Je milite depuis 2011 à la Coalition avenir Québec et j'occupe actuellement le poste de vice-président Est-du-Québec. Aussi, depuis le 7 mars 2018, je suis le candidat dans Vanier-Les Rivières, en vue des prochaines élections générales au Québec.
On peut évidemment m'écrire pour le travail ou pour la politique.
Depuis 2005, mon parcours en entreprises m'a permis d'aider des organisations à mieux prendre le virage numérique et ainsi de bien gérer le changement.
J'avoue être un idéaliste.
Je travaille de manière constructive avec tous ceux et celles qui veulent faire avancer la société !
Un autre véhicule me permet d'intervenir concrètement, celui de la politique. Je milite depuis 2011 à la Coalition avenir Québec et j'occupe actuellement le poste de vice-président Est-du-Québec. Aussi, depuis le 7 mars 2018, je suis le candidat dans Vanier-Les Rivières, en vue des prochaines élections générales au Québec.
On peut évidemment m'écrire pour le travail ou pour la politique.
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