S’il y a un débat sur lequel je ne suis pas objectif, c’est bien celui-là ! Je ne possède pas de permis d’enseignement malgré mes onze années de service comme d.g. ajoutées aux trois autres en tant qu’adjoint. Il me manque mes crédits de stage… Un responsable de l’Université de Sherbrooke voulait que je laisse mon travail pour aller faire mes stages dans une autre école que celle où j’oeuvrais et je ne pouvais pas me le permettre. Ça c’est arrêté là ! Maintenant, je me fais une sorte de fierté de ne pas avoir ce permis.
Bon, de toute façon, ce n’est pas cela que je veux commenter. Il s’agit plutôt de la petite controverse entourant le fait nommer des directeurs sans permis pour contrer la pénurie dans le recrutement de nouvelles recrues. L’article de mercredi dans Le Soleil et la caricature du même jour, amènent le sujet dans l’actualité; plusieurs parents m’en ont parlé aujourd’hui…
Dans les faits, Lysianne Gagnon (chroniqueuse émérite du journal La Presse) étant beaucoup plus détachée que moi de la problématique, je m’en tiendrai donc à sa position:
« En fait, on pourrait même soutenir qu’un professionnel autre qu’un enseignant, s’il connaît bien le milieu scolaire et s’il a des qualités de leadership, serait mieux placé pour évaluer le travail pédagogique de l’école. Il y ferait peut-être entrer de nouvelles idées et des courants d’air frais, et il aurait plus de recul, ce qui n’est pas mauvais quand il s’agit de porter un jugement et de mettre en oeuvre des projets. »
Pour que tout soit clair: OUI c’est ce que je pense, NON ça ne veut pas dire qu’un enseignant ne ferait pas un aussi bon (voir meilleur) travail !
À suivre…
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Pendant vingt-deux ans, l'école a été mon véhicule pour «changer le monde». J'y ai vécu des années fantastiques où j'ai beaucoup appris des élèves et où je suis allé au bout de certaines idées.
Depuis 2005, mon parcours en entreprises m'a permis d'aider des organisations à mieux prendre le virage numérique et ainsi de bien gérer le changement.
J'avoue être un idéaliste.
Je travaille de manière constructive avec tous ceux et celles qui veulent faire avancer la société !
Un autre véhicule me permet d'intervenir concrètement, celui de la politique. Je milite depuis 2011 à la Coalition avenir Québec et j'occupe actuellement le poste de vice-président Est-du-Québec. Aussi, depuis le 7 mars 2018, je suis le candidat dans Vanier-Les Rivières, en vue des prochaines élections générales au Québec.
On peut évidemment m'écrire pour le travail ou pour la politique.
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Un autre véhicule me permet d'intervenir concrètement, celui de la politique. Je milite depuis 2011 à la Coalition avenir Québec et j'occupe actuellement le poste de vice-président Est-du-Québec. Aussi, depuis le 7 mars 2018, je suis le candidat dans Vanier-Les Rivières, en vue des prochaines élections générales au Québec.
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