Effet pervers d’un système de taxation hors contrôle ou régulation normale de mécanismes sophistiqués de comptabilité gouvernementale, il s’avère qu’en 2004, les citoyens de Québec, de Laval et de Montréal paieront plus cher de taxes scolaires, mais il semble que les élèves des commissions scolaires ne seront pas ceux qui vont profiter de cet hausse de revenus. Le journal « Les Affaires » (p. 9 de l’édition du 22 mai), sous la plume d’André Dubuc, démontre habilement que le ministère de l’Éducation sortira grand gagnant de cette état de fait puisqu’il épargnera QUINZE MILLIONS en montant de péréquation versé en moins aux C.S.
J’aimerais bien hyperlier l’article, mais le site du Journal Les Affaires est un dédale de « pop-up » de publicités dans lequel on ne trouve pas grand chose dans les archives (ça fait plusieurs fois que ça m’arrive).
Une recherche chez Google avec les mots-clés « taxes scolaires » et « péréquation » m’amène quelques traces que cette nouvelle n’est pas passée inaperçu, mais son traitement me semble moins complet que dans l’article du « Journal Les Affaires » !
L’attachée de presse du ministre de l’Éducation, Mme Caroline Richard, a tout de même mentionné «que les 15M$ économisés sont réinvestis en éducation»…
La valeur des propriétés augmente, les citoyens sont davantages taxés par les C.S., mais c’est le M.E.Q. qui économise…
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Pendant vingt-deux ans, l'école a été mon véhicule pour «changer le monde». J'y ai vécu des années fantastiques où j'ai beaucoup appris des élèves et où je suis allé au bout de certaines idées.
Depuis 2005, mon parcours en entreprises m'a permis d'aider des organisations à mieux prendre le virage numérique et ainsi de bien gérer le changement.
J'avoue être un idéaliste.
Je travaille de manière constructive avec tous ceux et celles qui veulent faire avancer la société !
Un autre véhicule me permet d'intervenir concrètement, celui de la politique. Je milite depuis 2011 à la Coalition avenir Québec et j'occupe actuellement le poste de vice-président Est-du-Québec. Aussi, depuis le 7 mars 2018, je suis le candidat dans Vanier-Les Rivières, en vue des prochaines élections générales au Québec.
On peut évidemment m'écrire pour le travail ou pour la politique.
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