Clément dans la peau du ministre de l’Éducation ? C’est ce que je viens de lire dans le texte qu’il hyperlie sur son carnet. J’ai déjà commenté au bas de son billet; je ne vais donc pas répéter tout cela… Se retrouver sur la même tribune que Guy Rocher et Estelle Morin… Notre Clément prend du galon !
Cela me rappelle qu’un journaliste m’avait placé dans la même position voilà quelques mois. Voici comment il avait formulé sa question* :
« Vous êtes ministre de l’Éducation pour une journée et « vos désirs sont des ordres » . Quelles seraient vos premières décisions ? »
La réponse n’a pas été publiée… Peut-être n’était-elle pas très inspirée. À tout hasard et pour faire un clin d’oeil à mon ami Clément, je reproduis ce que j’avais répondu :
«Une journéeŠ et je veux que ça porteŠ ouais ! Je passerais la journée avec les directeurs d’école et le ministre de l’Éducation qui serait en poste pour les mois suivants; aussi des journalistes en qui j’ai confiance comme observateurs avec aucun droit de parole avant la fin de l’activité. Je préparerais une journée d’animation aidé par une vingtaine de personnes de ma connaissance qui permettrait de se forger un plan d’action à partir d’une question : «Qu’est ce qui est impossible à faire maintenant dans vos écoles qui, devenant possible, changerait complètement la qualité de ce que vous offrez dans ces mêmes écoles ?» Je m’occuperais du contenant, du « comment on ferait pour travailler cela » et je ferais confiance aux directeurs présents à condition qu’ils aient informé l’ensemble de leur communauté educative de leur présence à cette journée et de l’objet de la rencontre…
C’est ce qui me vient et je voudrais bien y repenser, car ce serait un cadeau précieux qui me donnerait une responsabilité et une opportunité très importante. Je crois à ce qui vient intuitivement, mais je crois aussi au pouvoir de la consultation; j’aimerais donc en discuter avant d’avoir un plan ferme compte-tenu du levier que ça pourrait représenter.»
*L’entrevue avait donné cet article !
Pendant vingt-deux ans, l'école a été mon véhicule pour «changer le monde». J'y ai vécu des années fantastiques où j'ai beaucoup appris des élèves et où je suis allé au bout de certaines idées.
Depuis 2005, mon parcours en entreprises m'a permis d'aider des organisations à mieux prendre le virage numérique et ainsi de bien gérer le changement.
J'avoue être un idéaliste.
Je travaille de manière constructive avec tous ceux et celles qui veulent faire avancer la société !
Un autre véhicule me permet d'intervenir concrètement, celui de la politique. Je milite depuis 2011 à la Coalition avenir Québec et j'occupe actuellement le poste de vice-président Est-du-Québec. Aussi, depuis le 7 mars 2018, je suis le candidat dans Vanier-Les Rivières, en vue des prochaines élections générales au Québec.
On peut évidemment m'écrire pour le travail ou pour la politique.
Depuis 2005, mon parcours en entreprises m'a permis d'aider des organisations à mieux prendre le virage numérique et ainsi de bien gérer le changement.
J'avoue être un idéaliste.
Je travaille de manière constructive avec tous ceux et celles qui veulent faire avancer la société !
Un autre véhicule me permet d'intervenir concrètement, celui de la politique. Je milite depuis 2011 à la Coalition avenir Québec et j'occupe actuellement le poste de vice-président Est-du-Québec. Aussi, depuis le 7 mars 2018, je suis le candidat dans Vanier-Les Rivières, en vue des prochaines élections générales au Québec.
On peut évidemment m'écrire pour le travail ou pour la politique.
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Rien à voir avec l’inspiration Mario. Mais tout à voir avec le « cheuf » de pupitre qui avait à négocier l’espace avec l’autre chroniqueur du lundi. Je croyais te l’avoir dit, sinon, voilà. C’est tout.