Quelques jours après avoir fait connaître un de nos programmes de formation pour 2003-2004 au Pavillon St-Louis, de multiples liens témoignent du rayonnement de cette annonce:
Journal le Soleil
Cyberpresse internet
Site l’infobourg
Carrefour-éducation
Et ce dernier article paru dans Le Soleil :
Actualités, mercredi 27 novembre 2002, p. A10
L’Institut Saint-Joseph fait le virage informatique au primaire
LaFerrière, Michèle
L’Institut Saint-Joseph, une école privée de niveau primaire de Québec, lancera un » programme cyberpédagogique « , l’an prochain. Soixante élèves de cinquième et de sixième année en bénéficieront, à la condition que leurs parents leur achètent un ordinateur portable.
» La pédagogie par projets fait que l’enfant doit être mobile « , explique le directeur de l’Institut Saint-Joseph, Mario Asselin. Comme l’élève devra continuer ses travaux à l’extérieur de l’école, le directeur a aussi voulu éviter les ennuis reliés à l’incompatibilité des ordinateurs à la maison. Tous les élèves n’auront pas à intégrer ce programme. Mais ceux qui le feront devront se procurer un portable de quelque 2500 $. » C’est ce que ça coûte pour jouer au hockey « , souligne M. Asselin.
Un ordinateur de trois kilos, c’est lourd pour un enfant de 10 ou 11 ans. Le directeur en convient. Il fera donc fabriquer » des sacs près du corps « . » Un dictionnaire n’est pas moins pesant qu’un portable, mentionne-t-il. Et tous les livres seront contenus dans le portable. » En outre, il est sûr que les élèves en prendront soin comme d’un » objet précieux « , puisqu’il leur appartiendra.
L’Institut Saint-Joseph faisait partie des écoles ciblées par le ministère de l’Éducation pour l’implantation de la réforme » En cette quatrième année d’implantation, on constate que les enfants ont davantage soif d’apprendre parce qu’ils sont moins passifs, résume Mario Asselin. Leur apprentissage est plus stable, plus fort. » Ils touchent à l’informatique depuis trois ans. Quand les Soeurs de la Charité de Saint-Louis ont vendu le bâtiment à la corporation de l’Institut Saint-Joseph, l’école a récupéré l’étage où logeaient les religieuses. Qu’en fera-t-elle ? Des locaux pour les 60 élèves du programme informatique » Carrière « .
Les deux pavillons de l’Institut Saint-Joseph (premier et deuxième cycle sur le chemin Sainte-Foy, troisième cycle sur le boulevard René-Lévesque) accueillent 390 élèves répartis en deux classes par niveau, de la maternelle à la sixième année. L’an prochain, avec son nouveau programme, il en aura 60 de plus en cinquième et sixième année. Une journée portes ouvertes aura lieu samedi, à l’intention de ces futurs génies de l’informatique.
On dit qu’un directeur est l’âme de son école. Mario Asselin en fait la démonstration. Non seulement croit-il à l’implantation de l’informatique, mais il s’implique à fond dans le processus. Il connaît le vocabulaire, les logiciels et les réseaux. Et il maîtrise le » système D » au point de se passer de soutien informatique et de se contenter de » consultants « , qu’il joint par téléphone. Il respecte ses employés et ses enseignants et leur laisse le temps d’apprendre à leur rythme. Mais ils devront se faire à cette nouvelle pratique : les messages du directeur ne sont plus livrés dans le pigeonnier de l’école, mais dans le système informatique.
MLaferriere@lesoleil.com
Catégorie : Actualités
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Pendant vingt-deux ans, l'école a été mon véhicule pour «changer le monde». J'y ai vécu des années fantastiques où j'ai beaucoup appris des élèves et où je suis allé au bout de certaines idées.
Depuis 2005, mon parcours en entreprises m'a permis d'aider des organisations à mieux prendre le virage numérique et ainsi de bien gérer le changement.
J'avoue être un idéaliste.
Je travaille de manière constructive avec tous ceux et celles qui veulent faire avancer la société !
Un autre véhicule me permet d'intervenir concrètement, celui de la politique. Je milite depuis 2011 à la Coalition avenir Québec et j'occupe actuellement le poste de vice-président Est-du-Québec. Aussi, depuis le 7 mars 2018, je suis le candidat dans Vanier-Les Rivières, en vue des prochaines élections générales au Québec.
On peut évidemment m'écrire pour le travail ou pour la politique.
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