Par les signets « del.icio.us » de Clément Laberge, j’ai parcouru ce matin un article provocateur, « Penser l’école – La fabrique d’automates » paru dans le Devoir d’hier. On y rapporte l’opinion de David Solway qui est un poète reconnu au Québec récemment pour s’être mérité le Prix littéraire de la ville de Montréal. Sa critique porte sur l’école, les systèmes d’éducation et la culture occidentale.
« «Nous sommes en train de créer des automates, des personnes qu’on instruit davantage qu’on les éduque», note-t-il. L’essayiste constate une évidente différence entre les concepts d’instruction et d’éducation. Pour les différencier, Solway propose un retour aux racines étymologiques des deux termes : «Le mot instruction vient du latin instruere, qui signifie « mettre en dedans ». Pour sa part, le terme éducation vient du verbe educare, qui signifie « conduire vers, donner une direction ».» Selon Solway, un système d’éducation efficace devrait pouvoir offrir des programmes qui mélangent l’instruction — donc l’appropriation des connaissances — à l’éducation, soit la capacité qu’a l’étudiant de «donner une direction à ses acquis». «Mais actuellement, il y a un divorce de ces deux concepts. On a remplacé l’entraînement par le remplissage», résume-t-il. »
Il me semble justement que c’est ce sur quoi nous travaillons actuellement… éduquer ET instruire…
Voilà donc un extrait à méditer dans le contexte des billets des dernières semaines !
Pendant vingt-deux ans, l'école a été mon véhicule pour «changer le monde». J'y ai vécu des années fantastiques où j'ai beaucoup appris des élèves et où je suis allé au bout de certaines idées.
Depuis 2005, mon parcours en entreprises m'a permis d'aider des organisations à mieux prendre le virage numérique et ainsi de bien gérer le changement.
J'avoue être un idéaliste.
Je travaille de manière constructive avec tous ceux et celles qui veulent faire avancer la société !
Un autre véhicule me permet d'intervenir concrètement, celui de la politique. Je milite depuis 2011 à la Coalition avenir Québec et j'occupe actuellement le poste de vice-président Est-du-Québec. Aussi, depuis le 7 mars 2018, je suis le candidat dans Vanier-Les Rivières, en vue des prochaines élections générales au Québec.
On peut évidemment m'écrire pour le travail ou pour la politique.
Depuis 2005, mon parcours en entreprises m'a permis d'aider des organisations à mieux prendre le virage numérique et ainsi de bien gérer le changement.
J'avoue être un idéaliste.
Je travaille de manière constructive avec tous ceux et celles qui veulent faire avancer la société !
Un autre véhicule me permet d'intervenir concrètement, celui de la politique. Je milite depuis 2011 à la Coalition avenir Québec et j'occupe actuellement le poste de vice-président Est-du-Québec. Aussi, depuis le 7 mars 2018, je suis le candidat dans Vanier-Les Rivières, en vue des prochaines élections générales au Québec.
On peut évidemment m'écrire pour le travail ou pour la politique.
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J’ai aussi découvert beaucoup de choses via ton fil web del.icio.us ce matin.
Del.icio.us + un agrégateur Web = un *très* puissant outil d’information et de réflexion.
Il faut vraiment que les gens fassent l’essai de cette manière d’écumer le web de façon collaborative pour s’en convaincre.
Le début d’une idée: un mois d’expérimentation collective (ou quelque chose du genre!)
Après avoir rédigé mon commentaire à la suite de ce texte de Mario, j’ai eu le début d’une idée. Je la partage ici, afin de voir ce qu’il est possible d’en faire ensemble. Depuis quelques semaines, plusieurs des personnes qui gravitent autour de ce ca…