Ce fut une journée typique de ces retours en classe. Échanges de bons voeux, retrouvailles et partages autour de certaines bonnes idées générées par un temps des Fêtes où le repos et le dépaysement semblent avoir été stimulants pour chacun. Comme je le pressentais la semaine dernière, le sujet « tsunami en Asie du Sud-Est » a fait jaser dans les classes, dans la salle du personnel, dans les corridors et sur le Web également.
J’ai reçu plusieurs courriels à la suite de mon billet du 6 janvier dernier. Quelques parents, des collègues et surtout, des gens que je ne connais pas m’ont fait part de leurs remarques et de leurs appréciations. Encore aujourd’hui, j’ai appris. À propos des moteurs de recherche en particulier. Parce que mon billet contient le mot « tsunami », le nombre de visiteurs en provenance de certains « engins-fouineurs » a attiré de nouveaux visiteurs.
Phénomène intéressant, une page Web d’un travail d’élèves réalisé voilà quelques années a refait surface. Quelques internautes pédagogues ont aimablement attiré mon attention sur le fait que cette page avait besoin d’actualisation (et de quelques retouches sur des « coquilles »). Je ne me suis pas posé la question bien longtemps d’où venait la popularité soudaine d’un glorieux chapître de notre expérience « encyclopéTIC« ; les moteurs de recherche ont guidé plusieurs personnes vers ce beau travail d’anciens élèves maintenant au secondaire !
Vraiment fascinant jusqu’à quel point le contenu publié par des jeunes devient « objet d’apprentissage ». Raison de plus pour s’assurer que toute publication soit de qualité !
Voilà un autre exemple du fait que le travail de chacun doit être accompli avec le maximum de rigueur et de véracité… Les jeunes sont en apprentissage, soit ! Mais puisque les moteurs de recherche sont ce qu’ils sont, personne ne peut prendre le risque de se retrouver le révélateur de faussetés ou n’inexactitudes. Même si on doit toujours questionner ses fréquentations Internet, les producteurs de contenus que sont tout ceux qui publient ont une grande responsabilité…
Pendant vingt-deux ans, l'école a été mon véhicule pour «changer le monde». J'y ai vécu des années fantastiques où j'ai beaucoup appris des élèves et où je suis allé au bout de certaines idées.
Depuis 2005, mon parcours en entreprises m'a permis d'aider des organisations à mieux prendre le virage numérique et ainsi de bien gérer le changement.
J'avoue être un idéaliste.
Je travaille de manière constructive avec tous ceux et celles qui veulent faire avancer la société !
Un autre véhicule me permet d'intervenir concrètement, celui de la politique. Je milite depuis 2011 à la Coalition avenir Québec et j'occupe actuellement le poste de vice-président Est-du-Québec. Aussi, depuis le 7 mars 2018, je suis le candidat dans Vanier-Les Rivières, en vue des prochaines élections générales au Québec.
On peut évidemment m'écrire pour le travail ou pour la politique.
Depuis 2005, mon parcours en entreprises m'a permis d'aider des organisations à mieux prendre le virage numérique et ainsi de bien gérer le changement.
J'avoue être un idéaliste.
Je travaille de manière constructive avec tous ceux et celles qui veulent faire avancer la société !
Un autre véhicule me permet d'intervenir concrètement, celui de la politique. Je milite depuis 2011 à la Coalition avenir Québec et j'occupe actuellement le poste de vice-président Est-du-Québec. Aussi, depuis le 7 mars 2018, je suis le candidat dans Vanier-Les Rivières, en vue des prochaines élections générales au Québec.
On peut évidemment m'écrire pour le travail ou pour la politique.
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Parmi ces responsabilités… non seulement il y a la qualité, mais aussi « la permanence ».
C’est ce que nous rappelle ici Dan Gillmor à partir d’un texte de Simon Waldman
http://dangillmor.typepad.com/dan_gillmor_on_grassroots/2005/01/permanence_matt.html
Je pense que c’est une préoccupation que les écoles devront particulièrement avoir dans les prochaines années. Spécialement dans le contexte où dans ce milieu, les auteurs ne sont généralement que de passage!
À moins, bien sûr, qu’on s’assure que les productions se réalisent « à relais » et que la responsabilités des espaces d’écriture soient confiées d’une année à l’autre à un nouveau groupe d’élèves (pour la mise à jour, etc.).
C’est ce que nous nous apprêtons à vivre au Collège Saint-Charles-Garnier… Plus de nouvelles bientôt!