C’est le titre de cette lettre publiée récemment au Devoir. L’auteur est en cinquième année, a onze ans et fréquente une école de la région de Montréal. Son histoire est passionnante. Cette jeune élève témoigne simplement de son vécu à la maison et à l’école : « (…) mon professeur enseigne depuis près de 30 ans et elle a une sorte de flamme dans les yeux tellement elle aime ce qu’elle fait. »
Ce qui m’a frappé dans son récit ne réside pas dans son opinion à contre-courant sur les jeux vidéo, à propos de la peinture ou au sujet de fait que sa maman ait été son enseignante un bon moment.
Non… ce qui m’a le plus étonné est plutôt le nombre de fois où l’opinion de maman est à l’avant plan dans ce texte. Le pire c’est que je ne sais pas pourquoi ça me dérange…
J’y reviendrai !
Pendant vingt-deux ans, l'école a été mon véhicule pour «changer le monde». J'y ai vécu des années fantastiques où j'ai beaucoup appris des élèves et où je suis allé au bout de certaines idées.
Depuis 2005, mon parcours en entreprises m'a permis d'aider des organisations à mieux prendre le virage numérique et ainsi de bien gérer le changement.
J'avoue être un idéaliste.
Je travaille de manière constructive avec tous ceux et celles qui veulent faire avancer la société !
Un autre véhicule me permet d'intervenir concrètement, celui de la politique. Je milite depuis 2011 à la Coalition avenir Québec et j'occupe actuellement le poste de vice-président Est-du-Québec. Aussi, depuis le 7 mars 2018, je suis le candidat dans Vanier-Les Rivières, en vue des prochaines élections générales au Québec.
On peut évidemment m'écrire pour le travail ou pour la politique.
Depuis 2005, mon parcours en entreprises m'a permis d'aider des organisations à mieux prendre le virage numérique et ainsi de bien gérer le changement.
J'avoue être un idéaliste.
Je travaille de manière constructive avec tous ceux et celles qui veulent faire avancer la société !
Un autre véhicule me permet d'intervenir concrètement, celui de la politique. Je milite depuis 2011 à la Coalition avenir Québec et j'occupe actuellement le poste de vice-président Est-du-Québec. Aussi, depuis le 7 mars 2018, je suis le candidat dans Vanier-Les Rivières, en vue des prochaines élections générales au Québec.
On peut évidemment m'écrire pour le travail ou pour la politique.
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Peut être parce que sa mère est trop présente pour que la petite puisse réellement s’épanouir, pas mal de mères possessives s’occupent beaucoup de l’éducation de leurs enfants …
Après, je ne m’en fais pas trop; à l’adolescence, elle s’émancipera sûrement. « Wait and see … »
Il me dérange aussi ce texte. Cette phrase :
« J’aime l’école et c’est pas compliqué, vous avez juste à retrouver votre coeur d’enfant »
où une enfant parle de retrouver son coeur d’enfant crée chez moi un certain malaise.
Ce qui est le plus curieux, peut-être, c’est que Le Devoir ait publié une telle lettre. Qu’y trouvait-il? Un message « positif » envers l’école public ??? Ou voulait-il simplement publier une petite lettre bien « cute ».
«[…]la passion c’est le mot que maman m’a le plus souvent parlé et maintenant je comprend ce que sa veut dire.» écrit-elle. Elle est chanceuse cette petite d’avoir compris à son âge ce que signifie la «passion». À cinquante ans, je cherche encore…