J’ai bien fait de quitter la rue des magasins. Même si la marche est longue de quarante-cinq minutes, le chemin qui mène au parc est d’une beauté inégalée. S’ouvre devant vous un paysage de mats de bateaux, d’océan et de grands édifices modernes qui doivent coûter un « bras entier » à habiter. À l’entrée du « Stanley Park », une inscription : « To the use and enjoyment of people of all colours creeds and customs for all time, I name thee Stanley Park » et c’est signé « Lord Stanley, Governor general, october 1889 ». J’ai un rendez-vous avec la montagne dans quelques minutes, je ne peux pas trop flâner auprès des arbres de huit pieds de diamètre, mais quelle ambiance tout de même ! Le calme près du centre-ville, c’est assez précieux.
Assis à un banc de parc à me raconter tout cela, je tappe allègrement. De fait, je ne suis plus au parc de celui qui a donné son nom à la fameuse coupe. Je suis maintenant au « Cardero Park », à côté d’une anse qui borde le « Westin Hotel ». J’ai devant moi une gigantesque affiche « Esso » qui trône au beau milieu de l’eau et qui sert de balise à une station d’essence pour les nombreux bâteaux ici. Un gars assis sur le banc voisin ne peut s’empêcher de venir voir ce que j’écris. Il a habité Québec pendant trois mois et lâche des « tabarnouches » aux deux minutes ! Il semble avoir parcouru le monde… Avec la température qu’il fait ici, il ne lui manque qu’un « speedo » pour me faire croire qu’on est quelque part en Floride. Mais si je me lève la tête au dessus de mon écran je vois bien que de l’autre côté, il y a des beautés qu’on ne trouve pas au pays des « los Tabarnakos »… « Grouse Mountain, I’m comming ! »
Pendant vingt-deux ans, l'école a été mon véhicule pour «changer le monde». J'y ai vécu des années fantastiques où j'ai beaucoup appris des élèves et où je suis allé au bout de certaines idées.
Depuis 2005, mon parcours en entreprises m'a permis d'aider des organisations à mieux prendre le virage numérique et ainsi de bien gérer le changement.
J'avoue être un idéaliste.
Je travaille de manière constructive avec tous ceux et celles qui veulent faire avancer la société !
Un autre véhicule me permet d'intervenir concrètement, celui de la politique. Je milite depuis 2011 à la Coalition avenir Québec et j'occupe actuellement le poste de vice-président Est-du-Québec. Aussi, depuis le 7 mars 2018, je suis le candidat dans Vanier-Les Rivières, en vue des prochaines élections générales au Québec.
On peut évidemment m'écrire pour le travail ou pour la politique.
Depuis 2005, mon parcours en entreprises m'a permis d'aider des organisations à mieux prendre le virage numérique et ainsi de bien gérer le changement.
J'avoue être un idéaliste.
Je travaille de manière constructive avec tous ceux et celles qui veulent faire avancer la société !
Un autre véhicule me permet d'intervenir concrètement, celui de la politique. Je milite depuis 2011 à la Coalition avenir Québec et j'occupe actuellement le poste de vice-président Est-du-Québec. Aussi, depuis le 7 mars 2018, je suis le candidat dans Vanier-Les Rivières, en vue des prochaines élections générales au Québec.
On peut évidemment m'écrire pour le travail ou pour la politique.
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Nous ne nous connaissons que de nom: Mario tout de go et Sylvie du Cercle de lecture et d’écriture virtuel, mais je suis une de tes plus fidèles lectrices.
Comme c’est drôle de te lire ici, Mario. Habituellement, je suis à Montréal et toi à Québec. En lisant tes derniers commentaires, je constate que nous fréquentons peut-être le même sans fil du Blentz café de la même rue à Vancouver en même temps. Au plaisir de te rencontrer aillleurs que dans la virtualité.